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LA FRATERNITE ROSICRUCIENNE - DEPARTEMENT AFRIQUE

Une association de mystiques chrétiens

LES ESPRITS DE LA NATURE ET LEURS RÔLES

Ce site est réalisé par Joseph Aimé Betong: jeffbeton69@hotmail.com

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LES ESPRITS DE LA NATURE ET LEURS RÔLES

Il existe une multitude de créatures qui vivent sur Terre en cohabitant plus ou moins secrètement avec les hommes. Ces êtres peuvent se diviser en plusieurs catégories selon les éléments de la nature desquels ils sont le plus proches. Il s’agit des créatures liées à la terre, à l’air, au feu et à l’eau. Etudions-les dans leur nature.

1-LES ESPRITS LIES A L’ELEMENT TERRE.

ILS SONT NOMBREUX ET PARMI EUX, ON PEUT CITER :

LES GNOMES :

Au moyen âge, lorsque bien de gens possédaient encore un reste de clairvoyance négative, on entendait souvent parler de gnomes, d'elfes ou de fés qui erraient dans les montagnes , dans les bois et les forêts.

2- LES ESPRITS DE L’EAU :

LES ONDINES :

Ce sont les esprits qui évoluent dans des milieux aquatiques. Parmi les plus nous avons les syrènes et les nymphes.

3- LES ESPRITS DE L’AIR :

LES SYLPHES:

Ce sont les esprits qui vivent dans les milieux aériens.

4- LES ESPRIT DE FEU :

SALAMANDRES :

Ce sont les esprits de la nature qui vivent dans l'élément feu. Il n'y a pas un feu qui se déclare sans leur présence.

Dans la nomenclature des Rose-Croix, le monde physique est divisé en deux régions : la région chimique composé de solide, liquide et gaz et la région éthérique, composé de quatre éthers de densités diverses. Ces éthers sont : l’éther chimique, l’éther vital, l’éther lumière et l’éther réflecteur. Les Esprits de la Terre ou entités éthériques, se classent en quatre catégories en fonction de la constitution de leur corps, chacune n’ayant spécialisé qu’un seul de ces quatre éthers. Ainsi, les Gnomes, les elfes, les fées ont le corps fait d’éther chimique. ils sont experts dans la manipulation de la matière terre. C’est pourquoi on les retrouve dans les forêts, les montagnes, les roches. Il parait qu’ils peuvent vous faire disparaitre momentanément quand vous les rencontrez en pleines forêts, etc. Les ondines ont leur corps fait d’éther vital et sont en affinité avec l’élément eau. On les trouve partout où il y a de l’eau : les lacs, les rivières, les océans, etc. Les sylphes ont leur corps constitué d’éther lumière et sont des entités de l’air, très actives dans les intempéries, les ouragans, les tempêtes, les siphons, etc. Les salamandres, entités de feu, ont leur corps fait d’éther réflecteur. Elles sont partout où il y a incendies, explosions, éruptions volcaniques, etc. Nul ne peut allumer de feu sans leur concours. Elles sont également des agents de la pensée. En rapprochant chacune de ces quatre entités éthériques par rapport à l’homme, il est à noter que l’homme a dynamisé chacun de ces quatre éthers. Alors, la constitution de l’homme, lui permet d’être bien supérieur à chacun des esprits de la nature pris individuellement. Il n’est nullement pas question que l’homme en fasse des dieux en leur dressant des temples pour leurs cultes en vue de les adorer.

Leurs rôles et apports dans l’économie de la nature

Derrière toutes les manifestations de la nature, il existe certaines intelligences plus ou moins conscientes - bâtisseuses ou démolisseuses - remplissant des rôles importants dans l’économie de la nature. Tant que ces agents n’auront pas été reconnus et que nous n’aurons pas étudié leur œuvre, il nous sera impossible de concevoir la façon dont les forces de la nature opèrent, qu’il s’agisse de ce que nous nommons chaleur, électricité, gravitation universelle, réactions chimiques, etc. Pour ceux qui ont cultivé la vision spirituelle, il est évident que les soi-disant « Morts » passent une bonne partie de leur temps à construire des corps sous la direction de certaines hiérarchies spirituelles. Ce sont les principaux agents, facteurs invisibles, des processus de digestion et d’assimilation. Il est rigoureusement exact que nous ne pourrions vivre sans le secours de ces agents invisibles au commun des mortels. Pour ce qui concerne les forces de la nature, la science explique comment la chaleur du soleil évapore l’eau des fleuves et des océans. Puis la vapeur se lève dans les régions plus froides de l’atmosphère, et s’amoncelle en nuages qui se fondent en pluies ; et comment la pluie remplit encore et encore les fleuves et les océans pour être évaporée à nouveau. Tout cela est beau et bon et répond à merveille à un processus de mouvements perpétuels et automatiques. Mais est-ce que vraiment, tout se résume à cela ? Cette simple théorie ne présente-elle pas quelques insuffisances ? Sans fournir d’autres explications qui nous entraineraient trop loin de notre sujet, nous pouvons affirmer, cependant, que ces lacunes existent. A la base de cette théorie, en effet, il manque une notion qui la rendrait tout à fait explicite, en faisant connaitre l’action semi-intelligente des agents de la nature invisible. Les sylphes soulèvent des particules préparées à la surface des eaux par les ondines, les emportent aussi haut que possible avant qu’une condensation partielle ne s’opère, donnant naissance aux nuages. Les sylphes conservent ces particules d’eaux tant que les ondines ne les obligent pas à les relâcher.

Quand nous disons « qu’il y a orage » c’est que, à la surface des océans, se livrent de véritables combats auxquels participent souvent les salamandres qui allument des éclairs entre l’oxygène et l’hydrogène au moment où ces éléments se séparent. Ils les précipitent en de fracassants zig-zags à travers les ténèbres qu’ils illuminent soudain. C’est alors que retentissent les coups de tonnerre assourdissants se répercutant de proche en proche, tandis que les ondines triomphantes renvoient à terre les gouttes de pluie qui rentrent dans leur élément tout en fertilisant le sol. Les petits gnomes, eux, ils aident à construire les plantes. Ils prennent un soin tout particulier à colorer les fleurs de ces teintes infiniment variées et délicates qui enchantent nos yeux. Ils taillent également les cristaux des diverses roches. Habilement modelées par les lapidaires, les plus précieuses d’entre elles font des bijoux admirables qui scintillent dans l’or et le diamant que nous portons si fièrement. Sans les gnomes, nous n’aurions ni le minerai de fer qui alimente nos machines, ni l’argent pour l’acheter. L’abeille n’est pas plus laborieuse que ces petites entités qui sont partout. La seule différence, est qu’on ne les voit pas. Tout le monde connait le travail des abeilles. Personne n’ignore qu’on leur doit le miel, mais on ne sait rien des mille travaux accomplis par ces petits esprits de la nature. Seuls savent les reconnaitre quelques clairvoyants exercés considérés comme de doux rêveurs, ou, tout simplement, comme des fous. Le solstice d’été est un moment particulier pour les esprits de la nature. Le temps que nous parcourons maintenant ou chaque année, à partir du 21 juin l’Esprit CHRIST atteint le trône du PERE, y séjourne pendant 3 jours et reprend à partir du 24 juin sa descente vers la Terre qu’Il atteint à l’Equinoxe d’Automne chargé de Lumière intense. Pendant la nuit du 24 juin, dite nuit de « la Saint Jean » qui est celle de la grande fête annuelle des fées ayant travaillé à façonner notre univers matériel pour qu’il soit possible aux hommes de se nourrir et d’alimenter le bétail. Elles font pousser l’herbe, gonfler le grain des céréales ; elles acclament avec joie et reconnaissance l’immense vague d’énergie qui leur permet de façonner les fleurs en des formes exquises, d’une étonnante diversité, et de les teinter de ces couleurs vives et nuancées, ravissement et désespoir des artistes qui tentent de les reproduire sur la toile. Au cours de cette nuit d’allégresse du fond des vallons et des ravins, les fées se rassemblent au milieu des forêts. Elles élaborent réellement leur nourriture éthérique ; ensuite, elles dansent des rondes folles, dans la joie d’avoir rempli le rôle important qui leur est dévolu dans l’économie de la nature. C’est une vérité scientifique que la nature ne tolère rien d’inutile. Elle a horreur des parasites et des bourdons. L’organe devenu superflu s’atrophie. La nature a des œuvres à accomplir, et elle exige de chacun, qu’il justifie son existence en travaillant. Cela s’applique au grain de moutarde comme à la planète, au moucheron comme à l’homme et au plus petit des lutins. Ils ont tous leur tâche à remplir. Ce sont des êtres très occupés et leur rôle explique plus d’un mystère de la nature autrement incompréhensible.

Ces esprits de la nature aident le Christ dans sa mission et on peut dire qu’en hiver, l’esprit christique se diffuse à l’intérieur de la Terre et commence à fertiliser le sol et à soulever les milliards et les milliards de graines que les fées forment et arrosent, afin de nous fournir une nourriture physique pendant l’été. Mais l’homme « ne saurait vivre uniquement de cette nourriture matérielle ». Si important que soit le travail des fées, il est insignifiant si on le compare à l’œuvre du Christ dont la mission consiste à nous apporter, chaque année, la nourriture spirituelle nécessaire à notre avancement sur le sentier de l’évolution, afin que nous puissions comme Lui exercer l’Amour, dans sa plénitude, avec tout ce que cette mission comporte de sacrifice. L’homme est appelé au cours de cette saison à coopérer étroitement avec les forces spirituelles bénéfiques du moment en s’éloignant des réjouissances explosives actuelles, en préparant ses corps pour le retour du Christ au prochain équinoxe d’automne. Bientôt, nous allons entrer dans le festival des vacances, des rites, des fêtes traditionnelles et autres. Nous invitons nos amies auditrices et auditeurs à beaucoup de retenues en ne gaspillant pas l’énergie nécessaire constructive de leurs corps car chacun de nous est appelé à croitre physiquement et spirituellement par ses propres œuvres.

Conférence publique au centre de Lomé

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